Det franske sætningskorpus
består af syv grupper:
Gruppe
1 er konstruerede
sætninger - med fokus på syntagmers
opbygning
|
Gruppe
2 er konstruerede
sætninger - med fokus på ledfunktioners
materiale
|
Gruppe
3 er autentiske
sætninger - primært uden kontekst
|
- Gruppe
4 er autentiske
sætninger - med fokus på analyse af
ledsætninger
|
Gruppe
5 er sammenhængende
tekst: Præsident Chiracs nytårstale 31. december
1997
|
Gruppe
6 er sætninger fra
Kompendium til indledende grammatik - Anne Jensens
E98
|
Gruppe
7 er sætninger, der
anvendes til sætningsanalyse ved Handels- og
Ingeniørhøjskolen i Herning
|
Du kan komme frem til hver gruppe ved at
klikke på ovenstående blå referencer
(links).
- Herefter kopierer (æbletast + c)
du den valgte sætning (eller en del af den) og klikker
på back/précédente/tilbage i menuen foroven.
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indsæt (æbletast + v) den valgte sætning.
Sætninger -
Gruppe 1
Substantivsyntagmer
- Il achète de la
viande.
- Lui, il ne lui donne pas de belles
fleurs.
- Elle a fait des voyages en France
plusieurs fois.
- Je connais la femme dont tu
parles.
- Je connais une belle ville
française.
- J'ai essayé cette robe cent
fois.
- Tu pourras emprunter la voiture de mon
ami.
- J'ai acheté des vêtements
bon marché.
- Il est marié avec une femme
très bien.
- Le tableau que tu regardes est mon
dernier.
- La pensée qu'elle ne m'aime plus,
m'obsède.
- Le judo est une discipline de combat,
qui tient du sportif et du spirituel.
- J'ai peur que Luc soit gravement
malade.
- On était en janvier et dehors,
dans la cour triste de ciment gris du grand lycée, le givre
avait blanchi branches des arbres nus.
Propriumsyntagmer
- La reine Victoria mourut en
1901.
- L'opposition n'apprécie pas le
président Chirac.
- Les Mitterrand habitaient rue
Guynemer.
Adjektivsyntagmer
- La femme est très
belle.
- Après l'accident, le
garçon était grièvement
blessé.
- J'ai acheté un vin bien
cher.
- Je suis fière (de ce) que j'aie
réussi tous mes examens.
- Il a rendu sa femme
heureuse.
- Je lis l'article pour la centième
fois.
- Pierrette est plus intelligente que son
frère.
- Luc est le plus intelligent de cette
classe.
Adverbiumsyntagmer
- Pierre conduit très
bien.
- Tu parles trop bas.
- Pierre l'affirme indépendamment
du fait que tout le monde le contredit.
- Pierre roule lentement.
- Marie conduit mieux que son
frère.
- Pierre conduit plus prudemment que sa
tante.
- Luc réagit le plus
intelligemment.
Artikelsyntagmer
- C'est dans leur propre
intérêt.
- Un quelconque facteur a joué un
rôle important.
- Ces quelques francs ne suffisent
pas.
- Le même livre se vend moins
cher.
- L'autre famille est connue dans un
cercle très étroit.
- Un homme entra par la porte.
- La vache est un ruminant.
- Nous avons acheté du vin, des
légumes, de la viande et de l'huile d'olive pour faire la
cuisine.
- C'est justement cet argument qui m'a
persuadé(e).
- Oui, je connais cette fille.
- Chaque matin, tous les petits
écoliers prennent le chemin des
écoliers.
- Sa mère est une très belle
femme.
Pronomensyntagmer
- Tu me le donnes.
- Je la connais.
- Il la laisse l'acheter.
- Celle que je connais le mieux, c'est ma
femme.
- Il est sain de travailler.
- Prenez ce train. C'est plus
rapide.
- Cela m'est égal.
- L'homme qui travaille habite à
côté.
- La fille dont Pierre se souvient
était allemande.
- Je m'en sers.
- J'y renonce.
- Qui habite à Paris ?
- A laquelle penses-tu ?
- Qui est-ce que tu connais ?
- A quoi tu penses ?
- Qu'est-ce qui te prend ?
- Nul n'est prophète dans son
pays.
- Ta maison et la mienne sont construites
de la même façon.
- Ton article est intéressant. Mais
le mien est plus original.
Præpositionssyntagmer
- Ils étaient contre une signature
du traité.
- Pierre vit à Nice.
- Pierre donne une fleur à
Sophie.
- A donner la parole au peuple, celui-ci
risque de la prendre.
- Elle avait pensé à prendre
des cours de français.
- Pierre vend des machines à
coudre.
Gerundiumsyntagmer (variant af
præpositionssyntagmer)
- Il l'arrête en posant sa main sur
son épaule.
- En relisant tes notes, tu
améliores tes chances au concours.
- L'appétit vient en mangeant, la
soif s'en va en buvant.
Absolut
konstruktion
- Le bébé
réveillé, il n'avait plus moyen de
dormir.
- Le chat parti, les souris
dansent.
- Pierre ayant perdu au jeu, sa femme
piqua une grosse colère.
- Marie voit un jeune homme torse
nu.
Ledsætningssyntagmer
- Elle insiste sur le fait qu'elle est
venue.
- Je pense que ma copine est amoureuse de
Pierre.
- La photo que tu regardes est prise par
un photographe célèbre.
- Sans qu'elle s'en aperçoive,
Marie est tombée amoureuse.
- Je sentais que nous nous taisions parce
que nous ne nous trouvions plus rien à nous dire.
Koordinationssyntagmer
- Marie et Pierre habitent dans la
même ville.
- Le garçon sortit de la maison,
prit son vélo et partit.
- Les jours se suivent et ne se
ressemblent pas.
- Il a acheté un cadeau pour toi et
pour moi.
- J'espère que ma mère sera
bientôt en bonne santé et qu'elle vivra encore
longtemps.
Verbumsyntagmer
I
- Pierre achète une jupe à
Sophie.
- Pierre achetait une jupe à
Sophie.
- Pierre achètera une jupe à
Sophie.
- Pierre achèterait une jupe
à Sophie.
- Pierre acheta une jupe à
Sophie.
- Sortez !
- Pierre a sorti son pull.
- Pierre avait sorti son pull.
- Pierre aura sorti son pull.
- Pierre aurait sorti son
pull.
- Pierre eut sorti son pull.
- Luc est né en 1992.
- Marie est arrivée.
- Pierre doit sortir son pull.
- Pierre peut sortir son pull.
- Pierre veut sortir son pull.
- Pierre ose sortir son pull.
- Pierre sait sortir son pull.
- Pierre a dû sortir son
pull.
- Pierre a pu sortir son pull.
- Pierre a voulu sortir son
pull.
- Pierre a osé sortir son
pull.
- Pierre a su sortir son pull.
- Jean est battu.
- Jean était battu.
- Jean sera battu.
- Jean serait battu.
- Jean fut battu.
- Jean a été battu.
Verbumsyntagmer
II
- Jean se voit
licencié.
- Jean se voit licencier.
- Jean se faisait battre.
- Jean se verra offrir un
cadeau.
- Jean s'est fait battre.
- Jean s'était vu offrir un
cadeau.
- Luc fit construire une
maison.
- Marie fait laver la jupe.
- Jean entend chanter les
oiseaux.
- Pierre voit venir le danger.
- Luc va arriver.
- Luc allait arriver.
- Marie vient de quitter le
pays.
- Marie venait de quitter le pays.
Infinitivsyntagmer
I
- Prendre deux œufs. Les faire
frire.
- Ne pas se pencher au dehors
!
- Et Mitterrand d'enchaîner : Alors
je suis candidat.
- Eteindre les lampes. Gagner le corridor.
Fermer la petite porte.
Infinitivsyntagmer
II
- Ce sont les devoirs pour
demain.
- Il fut triste, mais il gardait de bons
souvenirs.
- Le bébé a fait un grand
sourire.
- Il y a loin du dire au
faire.
- Quand on exerce le pouvoir, il est
préférable d'avoir des vues impartiales.
- Pierre souhaite se
ressourcer.
- Louise apprend à lire le
français.
- Je croyais avoir du pain pour deux
ans.
- Pierre affirme avoir été
à Paris.
- Pierre lui fait écrire une lettre
de démission.
- Pierre, va te coucher.
Infinitivsyntagmer
III
- Pierre fait exploser la
bombe.
- Le paysan fait manger les
veaux.
- Pierre fait découvrir le bonheur
à sa femme.
- Pierre se souvient d'avoir sorti son
pull.
- Pierre se souvient d'être
né en 1992.
- Pierre se souvient d'être parvenu
au but.
- Pierre se souvient d'être battu
par l'ennemi.
- Pierre se souvient avoir sorti son
pull.
- Pierre se souvient être né
en 1992.
- Pierre se souvient être parvenu au
but.
- Pierre se souvient être battu par
l'ennemi.
Præsens participium
syntagmer
- Bien que perdant toujours au jeu, Pierre
garde sa bonne humeur.
- Ce sont des moteurs bien
tournants.
- Une gerbe a été
déposée par la patrie reconnaissante.
- Les montagnes environnantes
s'élèvent à 2000 m.
- Pierre trouve la fille très
attrayante.
- Ce sont des moteurs tournant
bien.
- Les montagnes environnant la ville
s'élèvent à 2000 m.
- Je rédige un arrêt les
condamnant à la détention
perpétuelle.
- L'électricien a coupé le
courant.
- Dans la ville, il y avait un petit
commerçant.
- Les colorants non-toxiques sont plus
chers.
- J'ai perdu ma montre. L'étonnant,
c'est qu'elle marche encore.
Perfektum participium
syntagmer
- Bien que sorti premier de sa promotion,
Pierre reste chômeur.
- Quand Pierre est rentré de son
voyage, il nous a dit qu'il avait vécu une aventure
extraordinaire.
- Marie est partie hier soir.
- Le tableau de Picasso a
été vendu 5 millions de FF.
- Tout ce vin bu lui saignait le cœur.
- Le chat parti, les souris
dansent.
- Pierre avait des muscles très
tendus.
- Pierre rentre et trouve sa femme
morte.
- La femme décédée
sera inhumée mercredi.
- Le projet eut un délai de deux
ans accordé par le Premier ministre.
- Elles semblent charmées par cette
idée.
- Ne laissez pas votre table
encombrée de papiers inutiles.
- Les morts de faim sont plus
loin.
- Elle continuait ses petites
allées et venues.
Sætninger -
Gruppe 2
Subjekters
materiale
- Pierre achète un
livre.
- Pierre a acheté un
livre.
- Pierre est né le 1er
janvier.
- Le livre a été
acheté par Pierre.
- Pierre veut acheter un
livre.
- Pierre voit Suzanne acheter un
livre.
- Pierre fait acheter un livre par
Suzanne.
- Le garçon habite à
Odense.
- Je vais en Belgique.
- Apprendre à parler
français m'intéresse.
- Qu'il soit venu me voir hier soir, m'a
beaucoup surpris.
- Qui ne dit mot consent.
Formelle subjekters
materiale
- Il est trois heures du
matin.
- Il s'est produit deux accidents de
voiture.
- Ce n'est pas sûr que j'y
aille.
- Cela lui plaît d'enseigner le
français.
- Il est probable qu'il vient ce
soir.
Direkte objekters
materiale
- Je crains la mort.
- Je crains de mourir.
- J'attends ma sœur.
- Je mange des
épinards.
- Je garde les détenus.
- Je le connais.
- Je doute qu'il parte.
- Je me demande ce qu'elle fait si
longtemps dans la salle de bains.
- Elle ignore si Pierre
travaille.
- Je dors où je veux.
Præpositionsobjekters
materiale
- Je me souviens de notre premier
rendez-vous.
- Elle pense à notre premier
rendez-vous.
- Quand j'y pense, je m'en
souviens.
- Paul s'étonne du fait qu'elle
n'ait pas répondu.
- Je parle de ma mère.
- Je parle d'elle.
Dativobjekters
materiale
- Je donne la clef au
concierge.
- Les élèves
obéissent au prof.
- Pierre vole les livres au
libraire.
- Lui disant non, j'ai vexé mon
ami.
- Je lui donne la clef.
Subjektsprædikaters
materiale
- Paris est une ville moderne.
- La fille est belle.
- C'était lui !
- Mon plus grand souhait est de partir
pour la France.
- C'est trop!
- Il est de bon usage de se laver les
mains avant de se mettre à table.
- Le problème est que je ne l'aime
guère.
Blandede ledfunktioner -
materiale
- Comment je suis devenue qui je
suis.
- Le pire serait s'il se mettait à
boire.
- Le Président a nommé M.
Balladur Premier ministre en 1993.
- La direction trouve cette politique
désastreuse.
- L'après-guerre qualifia le
Maréchal Pétain de traître.
- Tu appelles cela venir à
l'heure.
- Luc trouve sa femme
désespérée.
- Elle agit mal.
- Le film a duré une
heure.
- Elle met les vêtements dans
l'armoire.
- Il viendra demain.
- Paul préfère travailler la
nuit.
- Paul est un homme qui travaille
dur.
- En sortant du cinéma, Pierre a vu
Sophie.
- Je suis fatigué(e) parce que j'ai
trop travaillé.
- Bien qu'il travaille beaucoup, Luc ne
fait pas de progrès.
- C'est un homme riche et qui a beaucoup
voyagé.
- Les privilèges finiront, mais le
peuple est éternel.
- Il lui était parfaitement
égal d'être ici ou là.
- Barca vit avancer un des miliciens, puis
une dizaine, puis une longue file.
- Je crois que c'est vrai.
- L'homme que je connais est
maçon.
- Dis-moi où tu
habites.
Sætninger -
Gruppe 3
- Dans l'Ouest les gens parlaient
peu.
- Un sourire, un regard pesaient
lourd.
- On ne se racontait pas de
blagues.
- Causer ne vaut pas cher.
- J'ai appris ce dicton
là-bas.
- Je me suis demandé si quelque
piège ne se dissimulait pas derrière ce
silence.
- Avoir appelé Pluton
"neuvième planète" n'était vraiment pas la
chose à faire.
- Surveiller ces objets volants,
même lointains, n'est d'ailleurs peut-être pas utile.
- Il voit sa photo.
- La guerre accélère les
emballements.
- Bientôt les enfants la retiennent
rue Guynemer.
- Lui vagabonde de meetings en
comités directeurs.
- La belle ville les a
séduits.
- Ils ont décidé de s'y
installer.
- Nous n'avons pas eu de problèmes
pour nous intégrer.
- Il y a bien eu quelques personnes qui
sont restées réservées et distantes mais
d'une manière générale, les gens se sont
montrés accueillants et aimables.
- Mais il fallait vivre.
- Flamina et Hans arrivaient du
Brésil, riches d'un modèle de sandales.
- Hans fait de petits boulots.
- Il sait tout faire, cet
homme.
- Le printemps arrive !
- A l'approche du paysan, les bêtes
se dressèrent et commencèrent à
gronder.
- Mais soudain, un sifflement retentit et
les loups reprirent leur place, calmés.
- Ils ne te toucheront pas. (Direkte
tale)
- Le voyageur tourna les yeux vers le lieu
d'où était venu le sifflement et découvrit un
homme qui lui dit: "N'aie pas peur".
- Repose-toi, puis je te prêterai
deux d'entre eux pour te protéger dans la traversée
de la forêt. (Direkte tale)
Sætninger -
Gruppe 4
Kompletivsætninger
- Il semble même souvent qu'il
s'efforce de relayer le vent.
- Ça m'étonnerait que Kino
s'en aille chasser s'il a vraiment faim.
- Je pensais que le Mex était
naïf.
- J'ai regretté que la Coors ne
demeure pas la boisson pour initiés, pour les vrais
habitants du vrai Ouest, qu'elle ne soit ma
bière.
- Il semble qu'on ne change pas,
dit-elle.
- J'en déduisais que non seulement
il se protégeait de toute surprise possible, mais encore je
vins rapidement à la conclusion qu'il refusait de sortir de
l'anonymat.
- Cette opération est rendue
très difficile par le fait que le train s'arrête le
long des flancs du bateau.
- Je misais sur le fait que la vie ne peut
pas briser tous vos élans.
- Je vais demander à Betty ce
qu'elle en pense.
- Je tenais à ce que mes deux
femmes négocient à mon sujet, tout en
appréhendant cette rencontre au
sommet.
Relativsætninger
- Il avait été orphelin, et
il venait d'hériter d'un grand-père qui lui avait
laissé sa maison.
- De l'armoire me parviennent des bruits
métalliques et sa voix, un peu étouffée, qui
dit: C'est quoi ça.
- Je n'arrive pas à croire à
la réalité de ce que j'écris.
- Ce fut Clara qui, plus tard, me la
raconta.
Tidssætninger
- Quelques instants plus tard, alors que
la Belgique criait au scandale, le Premier ministre Jean-Luc
Dehaene annonçait la démission des ministres de la
Justice et de l'Intérieur.
- Monsieur Hamil avait parfois besoin de
pisser et il fallait le conduire aux W.C avant que les choses se
précipitent.
- Il devait être cinq heures lorsque
je stoppai devant un grand hôtel du Vieux-Port.
- Quand il releva la tête pour
trouver de la reconnaissance, l'ingrate avait
filé.
- Quand elle revient dans la chambre,
maman s'est levée aussi, elle range sa
grammaire.
- Comme les femmes parlaient à
nouveau de maisons chaudes et de télévision, Mooz a
grogné en désignant le foyer entre les
pierres.
- Tandis qu'ils déjeunaient, je
m'étais mis à dessiner ce que je voyais de
là-haut.
- Tandis que je parlais, une de ses mains
se baladait le long de ma jambe.
- Il est retourné dans l'autre
pièce en hochant la tête pendant que je
redémarrais la vaisselle.
- Pendant que je buvais une
dernière bière, Betty tournait en rond dans la
pièce en plissant les yeux.
Årsagssætninger
- J'ai demandé cinq cents francs
à la bonne femme parce que je voulais être sûr
qu'elle avait les moyens.
- J'ai marqué ce jour-là
d'une pierre blanche parce que c'était une jolie
expression.
Betingelsessætninger
- On permettait le sexe à condition
que le sentiment n'y soit point mêlé.
- Il me débecte même
carrément ton notaire, à moins que tu m'aies encore
bourré le mou.
- Pourvu que la mode de la chaussette
unique revienne bientôt.
- Pourvu que Virginia n'ait pas mis la
grosse artillerie en branle.
- Si un certain Werther Bac insistait pour
obtenir ma nouvelle adresse, elle était priée de
m'en avertir et de l'éconduire sèchement.
Indrømmelsessætninger
- En réalité, bien que
vraiment désespérée, je n'étais pas
totalement sincère.
Hensigtssætninger
- Je priais secrètement le dieu des
athées pour que la paire de rames changeât enfin de
mains.
- Pour bien me faire rentrer la chose dans
la tête, il m'avait envoyé sans manger sur le balcon
afin que j'observe les trains de la gare
Saint-Lazare.
Undtagelsessætninger
- Il vivait dans le luxe et, sans que cela
soit antinomique, dans le dénuement.
Blandede
ledsætninger
- J'attendais toujours que quelqu'un
regarde pour que ça se voie.
- Je n'avais mal nulle part et je n'avais
donc pas de raison mais c'était comme si je n'avais ni bras
ni jambes, alors que j'avais tout ce qu'il fallait.
- Lorsque le patron sortait et me donnait
une claque je me mettais à hurler, mais il y avait quand
même quelqu'un qui s'intéressait à
moi.
- Je demande à Sad où je
peux trouver du matos, il me dit qu'il a un plan rue de Buci, il
veut bien me brancher à condition que je le fasse
tourner.
- Il y avait Lisette, une
préposée au standard téléphonique qui
veillait à ce que les conversations cochonnes ne soient pas
écoutées par ses collègues.
Sætninger -
Gruppe 5
VOEUX DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE,
M. JACQUES CHIRAC, AUX FRANÇAIS
(Paris, 31 décembre
1997)
- Je suis heureux de vous dire, ce soir,
les vœux très sincères que je forme pour vous et
pour tous ceux que vous aimez.
- Beaucoup d'entre vous sont en famille et
s'apprêtent à fêter la nouvelle année.
- D'autres sont seuls, malades, ou dans la
peine.
- Ma première pensée, une
pensée chaleureuse, sera pour eux.
- En 1997, une nouvelle majorité a
été élue.
- J'ai donc nommé un Premier
ministre issu de cette majorité.
- Le gouvernement applique sa
politique.
- Et je vais vous dire comment les choses
se présentent.
- Conformément à la lettre
et à l'esprit de nos institutions, j'assume dans leur
plénitude les pouvoirs et les devoirs de ma
charge.
- Garant de la continuité de
l'Etat, je suis aussi le gardien des valeurs de la
République, au premier rang desquelles la liberté et
la solidarité.
- Responsable de l'avenir de la Nation,
j'interviendrai chaque fois que ses intérêts seront
en jeu pour vous dire ce que je crois être bon pour les
Français ou, au contraire, dangereux pour notre pays.
- Vingt-quatre mois seulement nous
séparent de l'an 2000.
- Le temps s'accélère, les
échanges se multiplient, les mentalités
évoluent, les frontières s'estompent.
- Nous vivons des temps incertains et
difficiles, mais qui ne voit que ce sont aussi des temps riches de
promesses, riches de possibilités pour autant que l'on
sache et que l'on veuille les saisir ?
- A l'aube de cette année nouvelle,
je voudrais, dans cet esprit formuler deux vœux pour la
France.
- Je souhaite une France
rassemblée, accordée, dont les citoyens vivent en
bonne intelligence.
- Cela veut dire, d'abord, une France
rassurée.
- Il y a chez nous trop de violence, trop
d'insécurité dans les écoles, dans les
transports, dans les rues.
- Chaque jour, les limites sont franchies
au-delà desquelles la société se
défait.
- C'est aujourd'hui, je le sais, avec le
chômage, votre premier souci.
- L'Etat doit jouer tout son
rôle.
- Il doit s'efforcer de mieux
comprendre.
- Il doit prévenir.
- Il doit aussi punir quand il le
faut.
- J'appelle chacun à prendre ses
responsabilités.
- Que les citoyens respectent leurs
devoirs.
- Que les pouvoirs publics restaurent
l'ordre et la sécurité qui est la première
des libertés.
- Une France rassemblée, c'est
aussi une France fière de ses valeurs.
- La dignité des hommes et des
femmes, bien sûr, la protection des enfants, mais aussi la
laïcité et l'intégration.
- L'idéal de tolérance,
auquel nous sommes tous profondément attachés, ne
doit pas nous conduire à accepter ce qui met en
péril l'unité de la Nation.
- Notre pays n'est pas et ne sera jamais
l'addition de communautés juxtaposées.
- Le bien public n'est pas et ne sera
jamais l'addition d'intérêts
particuliers.
- Enfin, une France rassemblée,
c'est une France qui se parle.
- Qui sait écouter, qui sait
pratiquer l'échange et le dialogue, qui sait anticiper les
évolutions nécessaires et les conduire dans la
concertation.
- La modernité n'est pas un champ
de bataille, avec des gagnants et des perdants.
- Chacun peut et doit y trouver des
avantages.
- Pour cela, discutons, dépassons
nos contradictions et nos querelles, inventons des solutions
nouvelles.
- Je vous convie tous ardemment à
mieux faire vivre notre démocratie.
- Mon deuxième vœu, c'est une
France qui a davantage foi en elle-même.
- Nous avons toutes les raisons
d'être fiers de notre patrie et de croire en notre
avenir.
- Cet avenir, notre avenir est chaque jour
construit et fortifié par des hommes, des femmes, des
jeunes surtout, avides de comprendre et de
créer.
- Il s'appuie sur notre vaste culture sans
cesse rajeunie et enrichie par des connaissances
nouvelles.
- Il s'exprime dans des sciences et des
technologies que je veux toujours plus vivaces et qu'une
démocratie plus exigeante doit préserver de
l'excès.
- Et puis, il y a l'Europe.
- Cette Europe qu'après d'autres,
et avec d'autres, je contribue à bâtir.
- Je le fais pour garantir la paix
à un continent que l'Histoire a trop souvent
brutalisé et trop longtemps divisé.
- Je le fais pour assurer sa puissance et
sa prospérité au service de tous.
- Je le fais parce que je sais que nous
pouvons y être les meilleurs.
- Nous le pouvons si nous changeons dans
nos têtes.
- Il n'y a pas d'exception
française qui nous permettrait de nous soustraire aux
règles qui valent pour les autres.
- Mais il doit y avoir une ambition
française : libérer les forces, les énergies
de notre peuple, créer les conditions de la richesse et de
l'activité pour que tous les Français en
profitent.
- Pour que nous puissions créer les
emplois qui nous manquent et faire reculer le chômage qui
frappe si durement tant d'entre nous.
- Et l'on voit bien encore aujourd'hui la
gravité et l'acuité de ce drame.
- Lutter plus efficacement contre
l'exclusion.
- Que personne ne reste au bord du
chemin.
- Il est là, notre rêve de
dignité et de grandeur, plus vivant que jamais.
- Et nous en ferons une
réalité.
- Dans la vie d'un pays, il y a des temps
de joie et de tristesse, d'espoir et d'inquiétude, des
séparations, des retrouvailles.
- Mais l'important c'est de
préserver ce qui fait la force d'une famille, l'entraide,
la chaleur, le soutien, le plaisir d'être ensemble et
d'avancer ensemble.
- Une Nation, c'est la chance de vivre et
d'appartenir à une communauté unie par son histoire
et par sa culture.
- C'est construire un avenir pour nos
enfants.
- Mes chers compatriotes de
Métropole, d'Outre-mer et de l'étranger, soyons
fiers, soyons heureux d'être Français et ayons
confiance en nous.
- Je souhaite à chacune et à
chacun d'entre vous une très, très bonne
année.
-
-
Sætninger -
Gruppe 6
Kompendium til indledende
grammatik.
Fransk.
Anne Jensen. Efterår 1998.
NB: De sætninger, der er markeret med rødt kan
analyseres ved hjælp af VISL.
Analyser nedenstående sætninger
i primære sætningsled : Anvend V for verbal, S for
subjekt og O for objekt.
- Martin court.
- Martine nage.
- La femme travaille.
- La jeune femme marche.
- On mange.
- Mon petit frère mange.
- La très petite souris
court.
- Les habitants du village
dorment.
- Un de mes amis est parti.
- Elles sont revenues!
- 7.450.000 francs ont disparu.
- La fille du chasseur tricote.
- Lucien lit le livre.
- Sandrine tricote un pull.
- Elles mangent le poulet.
- On a vu le voleur.
- Tout le monde a lu ce livre.
- Je vais le faire.
- Elle l'a croisé.
- Les prix ont augmenté.
- Les souris mangent le grand
fromage.
- Le professeur d'anglais déteste
l'allemand.
- Il neige.
- Il fait chaud.
- Damien les a vus.
- Elle pensa qu'il fallait
trouver une solution.
- Il allumait la lampe jaune qu'elle avait
achetée en France.
- Tu la laves!
- Personne n'entendit le
cri.
- Tu veux que j'enfile ton
aiguille?
- Qui l'a vue?
- L'enfant la regardait.
- L'homme aux cheveux blancs adore le
cognac.
- Je voudrais qu'il neige.
- Tu sais que les
garçons lançaient des boules de neige contre ma
fenêtre?
- Elle vit quelques nuages blancs arrivant de
l'ouest.
- Claudine et Corinne regardent la
télé.
- Tu crois que je suis un
enfant.
- Il porte un chapeau de feutre.
- Une grande enveloppe est
arrivée.
- J'attendais Elizabeth.
- La désagréable impression
d'avoir été le jouet de ces deux femmes
revint.
- Quelqu'un m'a
réveillé.
- II avait reçu la première
lettre de Constance. II l'avait lue.
- La fille en imper clair quitta le
compartiment.
- J'imaginais que vous étiez un homme
libre.
- Je voudrais un autre verre de
vin.
- Bertrand a rencontré la sæur
de ma meilleure amie, Juliette.
- J'ai appris qu'elle avait
décroché un job.
- Les marchands relèvent leurs rideaux
de fer.
- Tu entends des portes qui
se ferment et des pas qui se précipitent dans les
escaliers.
- Elle porte une jupe plissée à
motifs écossais et des mocassins à talons
plats.
- Il ramassa ses affaires.
- La jeune fille assise à mes
côtés avait apporté une petite paire de
jumelles de théâtre.
- Marguerite Duras a
écrit beaucoup de livres.
- Elle a quelque chose
d'indéfinissable.
- Le proviseur surveille et protège
les enfants.
- Elle dit qu'elle a compris.
- Les petits enfants ramassent les poires et
les pommes.
- On commande deux cafés. Ma copine
boit le sien.
- Que fait-il?
- Il demanda s'il pouvait
revenir.
- La chambre dans laquelle
nous nous trouvons pue.
- Un grand nombre d'enfants
de plus de cinq ans aiment danser.
- Une recherche entreprise sur les
résultats de programmes d'immersion en Ontario
dévoila que les élèves plus âgés
effectuaient des progrès plus rapidement que les plus
jeunes.
- Les études psycholinguistiques
montrent que l'enfant n'apprend pas uniquement par simple
répétition ou par imitation.
- La femme disait: C'est la
première fois que je vois.
Analyser nedenstående sætninger
i følgende primære sætningsled: Verbal (V),
subjekt (S), objekt (O), subjektsprædikat (SP), adverbial
(A).
- Cette méthode demeure
intéressante
- Elle m'énerve.
- Elle semble difficile.
- Il achète ses vêtements
à Paris.
- La première semaine a
été fatigante.
- Le matin elle lit le journal.
- Les dernières enquêtes
d'opinion commandées par l'Elysée sont
arrivées sur le bureau de Jacques Chirac, le vendredi 5
juillet.
- La cote de popularité de Jacques
Chirac baisse peut-être en France.
- Les jeunes femmes paraissent
intéressantes.
- Ma femme est très différente
de moi.
- Quelques fois elle ouvre le
livre.
- Les fibres d'amiante sont un
cancérogène complet.
- On estime que 7% des cancer du poumon dans
les pays industrialisés sont dus à une exposition
professionnelle à l'amiante.
- La principale source de revenus de ces
champions dits "amateurs" reste le contrat
publicitaire.
- J'ai fait une publicité qui est
passée à la télévision le 16
mai.
- Son cahier est rouge.
- Son père était
menuisier.
- Vivre au Danemark est très
difficile.
- Elle est très bien.
- Depuis un an, ils n'ont plus le
moral.
- Il n'est pas responsable.
- Etes-vous peintre? Je le
suis.
- Antoine Millet devint
professeur.
- Camille et François
se retrouvèrent à Noël.
- Je veux dormir.
- Que dis-tu?
- La réponse n'est pas très
réconfortante.
- Cette maison est à
vendre.
- Qui est-il?
- Qu'il ait refusé ne
m'étonne pas.
- J'ai toujours aimé lire.
- J'entends les oiseaux chanter.
- Nous dînons à 8
heures.
- Il travaille beaucoup.
- Le chômage est le problème le
plus important.
- Beaucoup de Français écoutent
France Inter.
- Le ministre de l'Environnement a
proposé, en mars 1997 qu'on perçoive des taxes sur
l'eau du robinet.
- Les Parisiens sont toujours
pressés.
- Il joue L'art de la fugue de Bach à
Paris.
- La publicité est politiquement
neutre.
- Bernard et Thérèse bavardent
à la terrasse d'un café parisien.
- La grammaire est l'art de lever les
difficultés d'une langue; mais il ne faut pas que le levier
soit plus lourd que le fardeau. (Rivarol)
- Le médecin de Bordeaux est
venu.
- Le plus simple sera de se
taire.
- L'année dernière a
été pleine de surprises.
- Elle fait très jeune.
- Il aime rire.
- Qui vivra
verra!
- Il a décidé
qu'on ira à la plage.
- Un jour, il sera professeur dans une
université.
- François semblait
blessé.
- Tu es fatigué?
- A soixante ans, elle ressentait le besoin
de retourner dans son pays.
- Il est devenu honnête.
Analyser nedenstående sætninger
i følgende primære sætningsled: Verbal (V),
subjekt (S), objekt (O), subjektsprædikat (SP), adverbial (A),
dativobjekt (DO), indirekte objekt (IO) og adverbial
(A).
- Le lendemain, le train arriva.
- Sur la table de cuisine, à
côté du sachet familier de croissants, se trouvaient
trois pots de peinture.
- Louise était devenue une jeune
femme.
- Elle est née à
Paris.
- Maman est morte.
- Aujourd'hui maman est morte.
- II parle sans cesse de Louise.
- Il lit le matin
- Il lit Le Matin.
- II lui parle sans cesse de
Louise.
- Elle ne se souvient pas des
noms.
- II se rappelle les chiffres
- Adrien est vieux et malade.
- Ils ont bu le champagne dans le
salon.
- Je repose ma fourchette dans
l'assiette.
- A l'aéroport, je suivis le flux des
voyageurs qui allaient présenter leur
passeport.
- La jeune femme de la police des
frontières à qui j'avais remis le mien, après
l'avoir examiné, me posa une question.
- Nous parlerons des recherches
récentes sur les grands singes.
- Comme je n'avais pas écouté,
je fis une réponse évasive qui n'engageait à
rien.
- Je traînai dans les couloirs de
l'aéroport.
- Sa voix était distante.
- Elle racontait ce qu'elle avait fait
pendant le weekend.
- Elle me tendit deux lettres. L'une d'elle
provenait de l'ambassade.
- J'ai acheté un bloc de papier
à lettres chez le marchand de journaux. J'ai tracé
deux colonnes sur le papier. Dans la première, j'ai
écrit le nom de cinq pays d'Europe.
- Il ne termine jamais ses
phrases.
- Michel et Marie jouent du piano depuis
l'âge de trois ans.
- Quand on voyage, les heures semblent plus
longues, interminables.
- Nous écoutons du rock and roll
à plein volume.
- Les murs de la salle de bain étaient
blancs.
- Les rognons étaient très
bons. On me proposait de la sauce, me resservait de
vin.
- Je lui demandai si elle
voulait que je lui raconte une histoire.
- On est arrivé après
midi.
- Tous les chemins
mènent à Rome.
- Que faites-vous là?
- Il l'a fait sans m'avertir.
- Je l'ai donnée à la
concierge.
- Lorsque je jouais aux fléchettes,
j'étais calme.
- Son père, pendant
les vacances, le laissait au collège.
- Tous les jours ils nous
parlaient de leurs difficultés.
- Mon père n'a jamais
répondu à ma lettre.
- Mon frère ne lui
répond jamais.
- Ils ne veulent pas leur
rendre les livres qu'ils ont empruntés.
- Qu'est-ce qui ne va pas?
- Elle est arrivée vers deux heures,
mais il n'était pas prêt.
- Le problème est
qu'elle ne veut pas l'admettre.
- Il y a une semaine je l'ai
rencontré au supermarché.
- Ce festival de poésie 96 sera un
grand évènement.
- Huit des plus grands orchestres
symphoniques européens seront en octobre les invités
de la ville de Copenhague.
- En février 1989, Petrucciani donne
deux concerts au cabaret Montmartre.
Analyser nedenstående sætninger
i følgende primære sætningsled: Verbal (V),
subjekt (S), objekt (O), subjektsprædikat (SP), adverbial (A),
objektsprædikat (OP) samt egentligt og forløbigt subjekt
ES/FS.
- Tu m'as rendu de bonne humeur.
- Au théâtre on l'appelle
Jina.
- Elle trouve cette marche
fatigante.
- On la dit heureuse.
- Les SDF ont aussi des droits.
- Je le trouve sympathique.
- Il est très important d'aider ses
amis.
- On le nomme directeur.
- Il existe une troisième
possibilité.
- Tu me rends folle.
- Il est vrai que je vis de ma plume
d'écrivain.
- La Bible est sans conteste le best-seller
de l'édition mondiale.
- Il a les cheveux longs.
- Tu la laisses tranquille!
- Cela m'inquiète que tu roules si
vite.
- On l'appelle Tonton.
- Un vrai critique doit lire beaucoup de
romans.
- Beaucoup pensent que le secret d'une bonne
photo tient principalement à l'appareil, à la
lumière ou au sujet et négligent trop souvent le
choix du film. Or la qualité du film est ce qu'il y a de
plus important. Il serait dommage de confier vos souvenirs
à n'importe quel film. (publicité)
Analyser følgende sætninger fra
gamle eksamensopgaver.
- Comme je traversais la place de la
Sorbonne, j'aperçus son auto. C'était la plus jolie
auto que j'aie jamais vue.
- Il faut que le chef du gouvernement oublie
le programme qu'a établi son parti bien qu'on pense qu'il
ne doit pas se séparer de son idéal
particulier.
- J'ai lu dans un vieux livre que celui qui
va partir en voyage, doit craindre tout pour qu'il puisse jouir
pleinement de ses vacances.
- Je crois qu'on doit dire que la place
royale est le plus beau coin de cette vieille ville. On y
aperçoit des palais qui plaisent à tout le
monde.
- Le vieux monsieur leva les yeux de son
journal et dit à sa femme qu'il plaignait tous les fameux
palais détruits par la bêtise des
soldats.
- On peut être bête et choisir
l'imparfait du subjonctif, mais il est vrai que la haine de cette
forme saurait croître seulement dans le cœur d'un
fou.
- Quand la belle princesse eut compris que la
vieille reine voulait la tuer, elle prit la décision
d'aller dans la forêt pour attendre le retour du
prince.
- Quand on pense à tous nos beaux
châteaux, construits par des rois, on a envie d'aller les
voir.
- S'il est vrai que de nombreux organismes
paraissent assez peu actifs à notre époque, on peut
conclure qu'ils craignent les règles admises dans ce
pays.
- Toute la journée, il avait fait
chaud. Le vieux rédacteur en chef souhaitait que l'air de
son bureau fût plus frais, donc il alla ouvrir la
fenêtre.
- Voulez-vous me dire pourquoi cette nouvelle
proposition est impossible puisque vous prétendez
être en mesure de pouvoir tout expliquer?
- Quand le vieux monsieur eut vu que son
portefeuille avait disparu, il pensa à un vol commis par
son fils.
- L'occitan est quelque chose
qu'ils reparleront, qui vivra, qui survivra dans la mesure
où on le parlera au bistrot et sur un champ de
foire.
-
-
Sætninger
- Gruppe 7
- Il me téléphone de temps en temps.
- Beaucoup de Français étaient soldats pendant la
Seconde Guerre mondiale.
- Surprise, elle s'est assise.
- Il a estimé ma proposition intéressante.
- Elle m'a dit qu'elle allait bien.
- Il nous a avertis de son départ.
- Ils m'ont informé de leur départ.
- Ils m'ont signalé leur départ.
- Il m'a prié de venir aussitôt que possible.
- Il m'a demandé de venir aussitôt que
possible.
- J'ai besoin d'argent.
- Il y a des journaux partout.
- Il a peur que sa femme le quitte.
- Elle vit Paul qui s'approchait.
- Il est là parce qu'il attend un coup de
téléphone.
- Si j'ai assez d'argent, je vais partir pour la France.
- Le Président de la République française,
Jacques Chirac, a présenté à tout le peuple
français ses vœux pour l'année nouvelle.
- Les enfants sont surveillés par leur mère toute
la journée.
- La langue française a été imposée
par la loi Jules Ferry, qui a rendu l'école obligatoire en
1881.
- Jules Ferry a rendu l'école obligatoire en 1881.
- Il était interdit aux élèves, à la
récréation, de parler leur langue, qu'on appelait
« patois ».
- Aujourd'hui seuls les vieux parlent leur langue entre
eux.
- On peut aussi prendre sa langue régionale comme
deuxième langue au bac.
- La France est un mélange de peuples divers appartenant
aux provinces annexées par les rois de France.
- Au Danemark, on les aurait groupées en grandes
communes, mais les Français sont très
attachés à leurs petites communes.
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